Billy Joel a révélé qu’il était sobre depuis deux ans. Lors d’un entretien avec le Los Angeles Times avant son concert de vendredi soir (10 mars) avec Stevie Nicks au Dodger Stadium de Los Angeles, le « Piano Man » a été interrogé sur sa consommation d’alcool ces jours-ci et a admis : « J’ai arrêté il y a deux ans. Ce n’était pas un grand coup des AA. Je suis simplement arrivé à un point où j’en avais assez. Je n’aimais pas être complètement ivre, et cela créait probablement plus de problèmes dans ma vie que nécessaire. »
Lorsqu’on lui demande s’il a envie de boire après un concert, Billy répond : « Je n’en ai plus besoin maintenant. J’avais l’habitude de sortir de scène et d’être tellement remonté et excité que j’avais besoin de quelque chose pour me calmer et m’endormir. Mais j’ai réalisé que lorsqu’on boit pour s’endormir, on ne dort pas vraiment. Vous ne faites que vous évanouir. (Après le spectacle), je vais dormir. Aujourd’hui, il me faut toutes mes forces pour aller jusqu’au bout d’un spectacle, car c’est un travail difficile. Je laisse tout sur scène ».
Billy a été interrogé sur sa première rencontre avec Stevie Nicks : « Nous nous sommes rencontrés lors d’un concert de Fleetwood Mac à San Francisco, il y a probablement dix ans. Je l’ai rencontrée en coulisses, mais nous n’avons jamais travaillé ensemble, même si nous avons tous les deux connu le succès au même moment. Ce sera donc une chose totalement nouvelle pour moi. Je vais probablement interpréter l’une de ses chansons et elle va probablement interpréter l’une des miennes. . C’est à elle de décider. »
Au fil des ans, les problèmes d’alcool de Billy ont souvent été évoqués dans la presse, ce qui lui a valu son dernier séjour à la clinique Betty Ford en 2005. Deux ans auparavant, il avait participé à l’émission Dateline de la chaîne NBC et avait parlé franchement de sa relation avec la bouteille : [“I can abuse alcohol if the demons get me. I’ll go on a bender. It’s happened to me before. That’s why I went into rehab, I was on a binge, I was on a bender. And I said, ‘This is stupid, I’ve got to stop.’ Then I went and I did stop and I’ve learned to recognize what those signs are.”] (:17 OC : . . . ces signes sont)