Le livre définitif sur les premières années de Paul McCartney en solo est sorti.
La longue attente est terminée pour les aficionados des « Fab Four » avec la publication cette semaine de The McCartney Legacy : Volume 1 : 1969 – 73. Ce tome de 720 pages a été écrit par les auteurs Allan Kozinn et Adrian Sinclair et offre l’analyse la plus détaillée et la plus exhaustive de la carrière initiale de Paul McCartney après les Beatles – tant en studio que sur la route.
Toutes les sessions d’enregistrement et les performances scéniques relatant les débuts de la période solo de « Macca » sont répertoriées et disséquées dans ce qui constitue sans aucun doute l’étude la plus approfondie et la plus importante jamais réalisée sur le début de sa carrière. Presque chaque page contient de nouvelles informations et des histoires inédites sur l’enregistrement de McCartney en 1970, de Ram en 1971 et de ses premiers albums Wings, Wild Life en 1971, Red Rose Speedway et Band On The Run en 1973. Les premières tournées de McCartney pour Wings sont également passées au peigne fin.
Selon la description officielle du livre :
Il s’agit d’une exploration approfondie et révélatrice de sa vie créative au-delà des Beatles – avec des centaines d’entretiens avec des collègues musiciens, des directeurs de tournée, des ingénieurs du son, des producteurs, des réalisateurs de films, etc.
The McCartney Legacy donne à la vie et à l’œuvre de McCartney après les Beatles le genre de traitement approfondi que Mark Lewisohn a donné aux Beatles et que Philip Norman a donné à John Lennon. Il s’agit de la première biographie véritablement complète, et de l’exploration la plus finement détaillée de la vie créative de McCartney après les Beatles, jamais entreprise.
Le premier groupe de tournée de Paul McCartney, Wings, comprenait sa femme Linda aux claviers, les guitaristes Denny Laine et Henry McCullough, ainsi que Denny Seiwell à la batterie. Avec le recul, McCartney explique qu’en somme, il avait besoin d’un groupe pour rester dans la course : [“Well, I mean, I thought at the time, I thought, ‘Well, if I don’t form a band, and I don’t keep in ‘the business,’ then after a couple of years I’m gonna find I can’t sing and I haven’t got that knack in front of an audience.’ Y’know, you can lose it dead easy. So, I did it really to kind of keep oiled, like an athlete. Sort of, to keep doing it, in case I ever wanted to get serious again.”] (:19 OC : … redevenir sérieux)
Denny Seiwell, qui a commencé à jouer de la batterie pour McCartney à la fin de 1970 pendant les sessions de Ram, a ensuite cofondé Wings avec lui à l’été 1971. Il dit avoir su tout de suite qu’il jouait de la musique pour les âges : [“I was so fascinated with these songs though, when Paul started singing them. Playing the drum parts that matched and filling in all the blanks when we got the basic track down and we were putting some overdubs together, y’know? Everything that I did from Ram, right straight through, even through Wild Life, I knew it was timeless music; that this was going to be heard for a long period of time. It wasn’t just another record that I was making.”] (:24 OC : . . . je faisais)