Neal Schon a récemment déclaré que le conflit actuel entre Journey et son ancien chanteur Steve Perry est le résultat d’un contrat forcé qu’ils n’ont pas voulu signer.
Il n’y a pas longtemps, Perry a déposé une pétition pour annuler les enregistrements de marques déposées par ses anciens compagnons de groupe pour 20 chansons de Journey, y compris certains de leurs grands classiques. Il a affirmé que ses anciens collègues Schon et Jonathan Cain ne pouvaient pas aller de l’avant en vertu d’un contrat de partenariat qui exige « le consentement unanime préalable et écrit de tous les partenaires dans chaque cas ».
Schon a condamné cette affirmation en déclarant que la revendication de Perry était « de la merde totale ». Schon, qui n’a pas hésité à s’exprimer sur les médias sociaux, a récemment déclaré que cet événement était dû au fait qu’il n’était pas d’accord avec Perry lorsque le chanteur « nous a tous forcés à signer … 10 minutes avant que nous n’entrions en scène à Hawaï lors d’une série de cinq concerts à guichets fermés. Nous avions joué les deux premiers, puis notre manager [the late Herbie Herbert] est venu nous voir pour nous dire que Steve Perry n’allait pas continuer sans que nous ayons signé. Herbie a déclaré qu’il ne savait pas quoi faire d’autre, alors il a suggéré que nous signions. Nous avons signé, mais je dirais que c’était sous la contrainte et que nous n’avions pas le temps d’y jeter un coup d’oeil.
Après cet incident, Perry a quitté le groupe mais a conservé des droits de vote par le biais de leur société de gestion. Perry « était présent à la réunion du conseil d’administration. Personne ne pensait que j’étais là, mais tout en étant représenté par mon avocat, j’étais là, à écouter en ligne », a déclaré Schon.
Schon se souvient également que la voix de Perry « a été entendue par moi-même et par tous ceux qui étaient présents, ce qui a entraîné mon exclusion du conseil d’administration ». Au cours de la réunion, Schon a déclaré que le batteur de l’époque, Steve Smith, « s’est autoproclamé président », tandis que le bassiste de l’époque, Ross Valory, « s’est autoproclamé secrétaire, et ils m’ont tous jeté sous le bus, ainsi que Jon ».
« Bottom line, toutes ces années sont passées, puis j’ai découvert que notre musique n’était même pas une marque déposée, ni le nom avant 2005 et j’ai déposé le reste de tout en 2020 », poursuit Schon.
« Donc, parmi tous les avocats, comptables, managers, etc.[s] que nous avons eus, pensez-vous qu’un seul d’entre eux aurait pu s’occuper des affaires et protéger le groupe ? Je vais faire une supposition et dire qu’ils connaissaient tous les différences entre l’écriture de chansons, les droits d’auteur et, en fin de compte, les marques déposées pour tout », a ajouté Schon.
« Juste un petit quelque chose à penser, mes amis », a déclaré Schon à la fin de sa déclaration, signée « Neal Schon, fondateur et maintenant manager du groupe Journey ».