45 ans après la sortie de I’m In You, qui fait suite à Frampton Comes Alive ! de 1976, Peter Frampton admet avoir encore des regrets. – Peter Frampton admet qu’il a encore des regrets. Bien que la chanson titre et l’album aient tous deux atteint la deuxième place, Frampton se souvient de toute l’expérience comme d’une mauvaise décision après l’autre.
Après avoir atteint une renommée mondiale grâce à ce double album live classique, Frampton a déclaré à Guitar World : « Tout à coup, j’ai réalisé que j’avais beaucoup d’amis que je n’avais pas auparavant. Tout le monde avait son mot à dire, surtout ceux qui se frottaient les mains comme ça parce que je suis soudain devenu la poule aux œufs d’or. »
Il admet qu’il était stressé en entrant en studio pour commencer les sessions de I’m In You – même si Frampton Comes Alive ! était encore chaud dans les charts : « Je savais que je ne pouvais pas le suivre. J’ai mis six ans à écrire cet album, qui était jusqu’alors un best of live. Il y a un numéro de Humble Pie – ‘Shine On’, j’ai choisi (le) Wind Of Change, Frampton’s Camel, (et) Somethin’s Happening (albums). . . C’est à ce moment-là que j’ai commencé à abuser de l’alcool et à vouloir m’engourdir. La poule d’or était maintenant constipée. »
En regardant en arrière maintenant, Frampton sait ce qu’il aurait pu faire pour au moins égaliser le terrain de jeu pour l’album suivant : « J’aurais probablement dû commander tous les grands auteurs qui existent, m’asseoir et écrire avec chacun d’entre eux. Cela aurait été la seule façon de faire face à cette situation. Je ne voulais pas faire I’m In You. Je ne voulais même pas le rendre. Je ne l’aimais pas. Je savais qu’il n’était pas assez bon, mais tout le monde était « rush, rush, rush ». Tout le monde, un par un, venait me voir avec ses propres intentions cachées et me disait : « Plus tu attends, plus ce sera difficile », et tout ça. Je voulais attendre d’avoir le meilleur matériel possible, quel que soit le temps que cela aurait pris. Ça aurait pu prendre un an, ça aurait pu prendre deux ans. »
Au final, il se souvient de I’m In You comme d’une erreur : « Diverses choses se sont produites. J’ai perdu une cassette qui contenait un tas d’idées – ça a été dévastateur pour moi. Je me suis souvenu de certaines d’entre elles, mais pas de toutes. La majeure partie de mes nouveaux morceaux, que j’avais jusqu’alors, a disparu. C’était un disque douloureux à faire. »
Au cours de la période I’m In You, Peter Frampton a abordé son succès massif et celui de Fleetwood Mac une décennie après le début de leurs carrières respectives : [“I think that Fleetwood Mac and myself are probably the two best examples of if you are good and you stick at it long enough, obviously that experience that you’re going to gain. . .  I mean, I started playing in front of 200 people and now it’s 95,000, y’know? But, I think if you do have talent and you’ve got a good luck line and you stick around that long and you keep at it, In think you’re going to make it.”] (:21 OC : . . . pour y arriver)