Regarder : Aaron Lewis dédie « Am I The Only One » au « patriote » Charlie Kirk qui « a vraiment cru en la parole de Dieu »
Aaron Lewis rend hommage à Charlie Kirk lors d’un concert poignant à Chesterfield
Par [Votre Nom ou Fictif], 17 octobre 2023
Dans une atmosphère chargée d’émotion, le chanteur de rock américain Aaron Lewis, leader du groupe Staind, a dédié sa chanson solo « Am I The Only One » à la mémoire de Charlie Kirk lors de son concert du 16 octobre à The Factory, à Chesterfield, dans le Missouri. Cette performance, capturée en vidéo et devenue virale sur les réseaux sociaux, illustre une fois de plus l’engagement politique assumé de l’artiste conservateur.
Avant d’entonner les premières notes du morceau, Lewis s’est adressé à la foule avec une voix empreinte de colère et de respect : « Ils nous ont enlevé quelqu’un de très spécial. C’était un père, un mari, un patriote. Il croyait profondément en la parole de Dieu. Ils pensaient avoir fait taire une voix. Mais ils ont réveillé une putain d’armée. Je dédie cette chanson ce soir en mémoire de M. Charlie Kirk. » Ces mots ont provoqué une ovation nourrie, soulignant l’impact de cet hommage sur un public conquis par les convictions de l’artiste.
Charlie Kirk, influent activiste et commentateur de droite aux États-Unis, a été abattu par balle début septembre lors d’un événement sur un campus universitaire dans l’Utah. Cet acte, qualifié d’assassinat politique par de nombreux observateurs, a choqué le monde conservateur américain. Âgé de seulement 35 ans au moment de sa mort, Kirk était connu pour son style combatif et ses positions intransigeantes. Défenseur acharné du droit aux armes à feu, farouche opposant à l’avortement, il critiquait ouvertement les droits des personnes transgenres et qualifiait même l’empathie de « terme inventé de toutes pièces, New Age, qui cause beaucoup de dommages ». Malgré ces controverses, il inspirait une base fidèle de supporters.
L’ancien président Donald Trump, lors d’un discours commémoratif en Arizona, a salué Kirk comme un « grand héros américain » et un « martyr », renforçant ainsi son statut iconique au sein du mouvement conservateur. L’enquête pointe du doigt Tyler Robinson, un jeune de 22 ans originaire d’une banlieue de l’Utah. Ancien étudiant à l’Université d’État de l’Utah avant d’abandonner pour un apprentissage en électricité, Robinson est enregistré comme électeur sans affiliation partisane et figure comme « inactif », n’ayant pas voté lors des deux dernières élections générales. Aucune connexion avec un groupe extérieur n’a été établie à ce jour.
Aaron Lewis, souvent perçu comme l’un des musiciens rock les plus conservateurs de la scène américaine, n’en est pas à sa première prise de position politique. En septembre 2021, il avait déjà fait les gros titres en incitant ses fans à scander « Fuck Joe Biden » lors d’un concert de Staind en Pennsylvanie. Dans une interview accordée à l’Anchorage Press en janvier 2020, il avait dénoncé la première destitution de Donald Trump par la Chambre des représentants comme « la plus claire illustration de ce qui ne va pas dans l’Amérique d’aujourd’hui ».
Critique virulent de l’ancien président Barack Obama, Lewis avait déclaré en 2016 lors d’un concert solo : « Barack Obama aurait dû être destitué il y a une putain de longue période. Chaque putain de décision qu’il prend va contre la Constitution, contre ce qui est bon pour notre putain de pays, et il est vraiment le pire putain de président que nous ayons jamais eu dans l’histoire de ce putain de pays. » La même année, dans les colonnes de Billboard, il avait exprimé son soutien à Trump pour l’élection présidentielle, malgré sa déception face aux « querelles et aux insultes » du candidat républicain. Lewis avait toutefois voté pour le sénateur Ted Cruz, principal rival de Trump lors des primaires en Massachusetts.
En juin 2021, il avait accusé le Parti démocrate américain d’avoir combattu toutes les grandes initiatives en matière de droits civiques et d’entretenir une longue histoire de discrimination. Plus récemment, en mars 2022, lors d’un entretien avec le Los Angeles Times, Lewis expliquait son scepticisme envers les médias traditionnels : « Je ne suis pas inculte ; je suis en réalité très intelligent, et je cherche par moi-même. Je me tourne vers d’autres sources d’information. Je refuse de croire qu’une énorme multinationale a nos intérêts à cœur. » Interrogé sur ses sources préférées, il citait des flux d’actualités et des figures comme Dan Ball, Andrew Wilkow, Mark Levin, ainsi que Tucker Carlson à la télévision, et Telegram pour suivre l’actualité.
Cet hommage à Charlie Kirk s’inscrit dans la continuité des convictions profondes d’Aaron Lewis, qui mêle avec passion musique et militantisme. La vidéo de la performance, disponible en ligne, continue de résonner comme un cri de ralliement pour ses admirateurs, transformant un concert en véritable manifeste politique.
Crédit image : DeadMike.com
(Vidéo intégrée : [Lien YouTube vers la performance])
Cet article est une création originale inspirée des faits fournis, rédigée en français pour un public francophone intéressé par la musique et l’actualité américaine. Il vise à informer tout en respectant l’esprit du contenu source.
